C’est mon anniversaire aujourd’hui. J’ai 58 ans. Déjà. Merci à tous et toutes qui prendront le temps pour moi aujourd’hui. Même si j’aurais préféré que ça se passe ailleurs, ne serait-ce que pour mon anniversaire, en guise de cadeau, j’irai faire un tour sur Facebook pour les remercier d’avoir cliqué sur le bon bouton.
À l’image précédente, voici le contexte de départ.
Probablement le plus beau de la saison. Et pourtant, rien n’annonçait un tel spectacle.
On avait une belle occasion de se réunir et de fêter hier. La météo était magnifique. Nous avons été choyés. Bien entourés, je crois que nous avons fêté la vie. Merci à ceux qui prendront la peine de suivre le lien que je partage. ❤️
Je passe un bel été dans cet endroit magnifique qu’est le Lac Brome. Nous y louons un chalet depuis le 1er juillet jusqu’à la fête du travail. Le temps passe trop vite.
Aujourd’hui j’aimerais partager une petite histoire qui, je l’espère, saura illustrer au sens propre et figuré un des enjeux sournois de l’utilisation à grande échelle de l’intelligence artificielle générative. J’ai récemment commandé à un artiste numérique de créer une version “pixel art” d’une photo de moi que j’utilise dans ma vie professionnelle. J’ai toujours trouvé fascinant et amusant le style “pixel art” car à l’heure des écrans haute définition et des ordinateurs ultra rapides, le pixel art est une sorte de pied de nez à ces avancées technologiques (je vous invite à lire sur ce style d’art numérique ici sur Wikipedia).
Ma vue ce soir. Magnifique.
Le Québec aujourd’hui (et depuis toujours?): le drapeau dans les airs, le temps d’une parade.
Petit brunch sur Masson, en ce dimanche ensoleillé, à l’Entre-Pôts. Première visite à ce petit resto de quartier, fréquenté par des habitués. On a aimé mais rien pour appeler sa maman. J’ai pris une “Brouillade”: des oeufs brouillés avec fromage feta et une petite salade, et pain nan.
Demain, nouvelle semaine, nouvelle job. Après presque huit années passées chez ESI Technologies, il était temps pour moi de passer à autre chose. C’est avec excitation et un peu d’anxiété que je commencerai cette nouvelle aventure. Bizarrement, commencer une nouvelle job me rappelle toujours quand je rentrais à l’école en septembre alors que j’étais tout petit. On verra où tout ça va me mener.
Ces derniers jours j’ai annoncé mon départ de ESI Technologies après plus de sept années passées dans l’entreprise. C’est un nouveau chapitre pour moi qui va commencer, chez Desjardins. Face à l’inconnu, c’est à la fois excitant mais aussi un peu stressant. La question qui se pose pour moi est la suivante: serait-ce mon dernier chapitre professionnel?
J’ai écouté cette série québécoise et je me suis régalé. C’est probablement la meilleure série télé qu’il m’a été donné de voir. C’est un chef d’oeuvre. Je vous recommande vraiment beaucoup de vous abonner à Crave et de plonger dans cet univers parfois noir mais aussi rempli d’espoir et de petites victoires. J’ai terminé la première saison et heureusement une seconde est en préparation. J’ai déjà hâte.
Nous sommes à quelques jours des élections. Je n’ai pas encore voté mais j’ai fait mon choix. Les chances d’un gouvernement minoritaire sont minces. Avec les dernières élections ces dernières années, avoir le Bloc Québecois dans un contexte de gouvernement minoritaire me paraissait une bonne idée. Mais là, le contexte est différent. Très différent. J’ai envie d’un gouvernement fort et je vais voter libéral cette fois-ci. On verra si c’était une bonne idée.
“A healthy democracy requires relationships, trust, physical presence, and shared stakes. If we don’t have anyone in our lives who voted differently than we did, if the only time we talk to our neighbors is when we have something to complain about (if we even bother), if we haven’t been in a room with strangers in months trying to solve a real problem without a mute button or a string of emojis—then we are actively making it easier to divide.
Sans commentaire.
Le jeudi est notre soirée resto. Cette semaine, c’était au 9ième, au Centre Eaton, au centre ville de Montréal. Apparement un lieu prisé il y a longtemps, c’est un bel endroit, pour les amateurs, voire amoureux du style Art Deco. J’en suis un. Au delà du décor, le service est excellent, mais est-ce que je peux en dire autant du repas? Je ne crois pas. C’était bien mais rien pour appeler sa mère.
Triste journée hier pour une foule de raisons. N’ayez crainte, il ne s’agit pas de moi mais d’eux, les Américains, et leur petite clique qui “gouverne”. Zelensky s’est fait “framé” comme on dit par ici. Et cette question d’un “journaliste”, avant la dégringolade, au sujet de sa façon de s’habiller. Et non, il ne porte pas de complet, il porte les couleurs militaires, les couleurs de la guerre pour se défendre.
Texte de Stéphane Garneau, PDG de Micro Logic, reproduit en entier ici car je le trouve pertinent. “Bon début d’année à tous. À ceux qui doivent choisir un fournisseur cloud cette année… ☁️ Azure VMware Solution (AVS) ☁️ Google Cloud VMware Engine ☁️ Backup & Recovery (sur GCP, Azure ou AWS) Regardez bien cette photo ici-bas. Elle symbolise un choix. Un choix qui, en apparence, semble anodin. Mais en creusant, ce choix en dit long sur qui nous sommes et ce que nous défendons.
Les gens pensaient au début de la guerre en Ukraine que de fournir des armes pour aider l’Ukraine à se défendre pourrait déclencher la troisième guerre mondiale. Personnellement, je n’y ai jamais cru. Cela dit, ce qui se discute présentement dans les coulisses entre les Russes et les États-Unis pour régler le conflit, et ce en s’assurant de garder l’Ukraine à l’écart est beaucoup plus susceptible de semer les graines pour déclencher cette troisième guerre mondiale.
Par un soir de fin de tempête hivernale, la veille de la Saint-Valentin, petit souper dans un resto que l’on vient de découvrir, l’Éléonore Buvette, sur Ontario. Malgré le mauvais temps, il y avait du monde! La bouffe, probablement, explique tout. On a aimé. Formule tapas. Drinks fancy. Ambience qui me fait penser à Chez Annette, sur Molson, style mid-century. Prix raisonnables à modérés. Faut ce qu’il faut pour trouver le plaisir.